dimanche 22 janvier 2017

Les sujets qui fâchent... Quelques liens

Quelques liens pour s'inquiéter, s'informer, 
réfléchir, et agir en conséquence... 

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#TELEPHONES PORTABLES - #ECOLE

Article du Monde, du 2 avril 2017

Collège et lycée : peut-on et doit-on encore bannir les téléphones portables de l’école ?

Des professeurs parlent de l’omniprésence des smartphones à l’école et s’interrogent sur les réponses qu’ils doivent y apporter, entre pédagogie et tolérance zéro.

http://www.lemonde.fr/education/article/2017/04/02/college-et-lycee-peut-on-et-doit-on-encore-bannir-les-telephones-portables-de-l-ecole_5104534_1473685.html


#ADDICTIONS - #SMARTPHONE 

http://www.lemonde.fr/pixels/article/2017/01/09/addiction-concentration-performance-ce-que-l-on-sait-ou-pas-des-effets-du-smartphone_5059960_4408996.html



#AVAAZ   -   #PETITIONS  -   # MONDIALISATION  -   #INDEPENDANCE

http://alternatives-economiques.fr/blogs/gadrey/2016/02/01/faut-il-renoncer-a-signer-des-petitions-avaaz/
Pour ma part, je continuerai comme Jean Gadrey de signer et de relayer les pétitions correspondant à mes convictions !  Voir ce que j'ai répondu...*


#ADDICTIONS - #SMARTPHONE - #EDUCATION

https://www.franceinter.fr/emissions/choses-vues/choses-vues-17-janvier-2017


#SMARTPHONES

https://www.linkedin.com/pulse/infographie-24-heures-chrono-le-smartphone-des-fran%C3%A7ais-comelli





*Je me suis aussi posé des questions sur Avaaz, mais au vu des dernières campagnes, je suis convaincu que ce réseau peut être un formidable outil de résistance, même si en effet il ne s'attaque pas à tous les problèmes. 
Quand l'urgence est là, il faut bien essayer de réagir, malgré les dangers de l'immédiateté que je combats par ailleurs.  Les dangers d'utiliser ce site de pétitions "mondialisées" n'est pas plus inquiétant que celui de l'addiction au smartphone et aux réflexes conditionnés des jeux vidéo. La réflexion et la critique doivent être globales, car nous en venons tous à nous battre avec nos contradictions ! 
Je vous félicite d'avoir abordé dans cet article toutes les facettes de ce sujet brûlant.  Notez que je relaie moi aussi certaines alertes Avaaz sur Facebook et Twitter, des outils dont j'utilise à regret, mais qui constituent (hélas!) des outils de communication certes chronophages et superficiels, mais parfois utiles pour relayer des informations (à condition que leurs utilisateurs consultent les articles sources et ne "likent"  pas dans la seconde qui suit...) 











lundi 16 janvier 2017

Vivez "avec votre temps" = Réveillez-vous !! C'est une question de survie...

Vivez "avec votre temps" = Réveillez-vous !! C'est une question de survie...

En ce seuil de l'année 2017, le monde s'endort sous les berceuses de Facebook, les "applications" de smartphones, les clichés et rabâchages médiatisés. 
Personne ne se remet en question. Trop facile de se retrancher derrière le "tous pourris" partiellement justifié mais trop commode, car il permet de garder la conscience tranquille, excluant bien entendu toute responsabilité personnelle et toute volonté de changement dans nos comportements quotidiens...

Que d'incohérences entre les grands principes qu'il est facile d'afficher sur les réseaux sociaux et le comportement au quotidien de tout un chacun. 
Bien sûr, il faut condamner sans réserves les "pourris" du pouvoir, en n'oubliant toutefois pas les tenants du pouvoir économique et financier, premiers maîtres avant le pouvoir déclinant - et bientôt inexistant si nous ne faisons rien - du politique.

Le bling bling et le superficiel continuent d'attirer, et l'idée que pour gouverner, il faut en avoir... Peu importe le programme : ce qui compte c'est de faire "bouger les lignes", même si les lignes ne tardent pas à s'incurver vers la mauvaise pente. Résultat depuis des années : on s'emballe vite dans un sens, on veut un choix "démocratique", en empêchant les autres de s'expliquer si possible, et on s'étonne ensuite des marches arrière !

C'est la politique du mieux disant et de l'autruche. Des petits pas successifs, tenant compte avec réalisme de toutes les données (sociales, environnementales et économiques, nationales et internationales) sont mal vus, même s'ils constituent des avancées vers plus de justice, une préservation de notre environnement ou au moins des compromis sécurisant les acquis fondamentaux.

Peut-être la démocratie telle que nous la vivons ne permet-elle plus la résolution rapide de nos problèmes, mais au moins évite-t-elle une révolution meurtrière.
Si chacun essayait de jouer le jeu quand un arrêté est voté, ses effets positifs se feraient sentir rapidement. La triche, le travail au noir et le chacun pour soi sont hélas de mise. 
Il n'y a qu'à prendre pour exemple l'utilisation inadaptée et toxique de la voiture individuelle lors de pics de pollution, par des conducteurs qui pourraient choisir (pas tous, mais tout de même...) un transport partagé, les transports en commun ou les transports "doux".
Mais voilà : nous sommes dans un rythme de vie basé sur l'impatience :  le smartphone a encore accentué chez ses inconditionnels ce besoin d'immédiateté et de confort personnel incompatible avec un comportement éco-responsable. 
Ses applications peuvent être louables (certaines d'entre elles sont sûrement très utiles et "citoyennes" - alertes, état du trafic, autopartage, horaires et tickets de transports en commun etc) mais se retrancher sans cesse et impatiemment derrière celles-ci entraîne une réelle dépendance. Ce n'est pas l'appareil et l’innovation en soi, que je trouve dangereux, mais l'addiction consciente à son utilisation de tous les instants

Il suffit de regarder dans la rue ces jeunes et moins jeunes qui ne savent plus passer deux minutes sans consulter leur petit écran qu'ils seront ravis de se faire greffer dès que cela sera possible (c'est sûrement pour bientôt !)
Les cauchemars de la science-fiction ne sont plus pour demain, nous y sommes !  Fahrenheit 451, c'est presque notre réalité d'aujourd'hui.
Un peu de maturité ne ferait de mal à personne. Les entrepreneurs qui nous envahissent de ces nouvelles technologies sont parvenus à nous infiltrer avec leurs publicités.  
Et l'on ose encore s'offusquer des lois ou des arrêtés qui menaceraient nos libertés individuelles, des caméras de vidéo-surveillance ?
Mais les "adultes" totalement infantilisés sont les premiers à s'acheter ces gadgets qui les espionnent constamment !!   Et tant pis si l'on me reproche de ne pas savoir "vivre avec mon temps" !

Bravo pour ce témoignage sur France Inter :
https://www.franceinter.fr/emissions/choses-vues/choses-vues-17-janvier-2017

Vivre avec son temps, ce n'est pas applaudir les derniers gadgets d'applications qui vous ramollissent le cerveau en prenant tout en main à votre place. Pour la première fois il y a deux jours, j'ai enfin entendu au journal de 20h de la 2 une analyse - bien timide pour l'instant - sur le lien entre l'utilisation excessive du smartphone et la baisse du Q.I. moyen des français  Cette baisse se fera sentir sur les intentions de votes en favorisant la passivité (tout serait écrit : on ne pourrait que s’incliner !), l'abstention par ignorance, et la voie ouverte aux populistes.

jeudi 17 novembre 2016

Pas si ringard, le Soyouz !

Pas si ringard !

Ce soir du 17 novembre 2016, Thomas Pesquet va s'envoler vers l'ISS dans une capsule Soyouz...  En 1972, avec Jean-Claude Louchet, nous lancions à Arras le "Cosmos Club Arrageois" en lien avec Albert Ducrocq et son équipe du Cosmos Club de France.  Claude Wachtel avait pu réaliser à Moscou des photos du vaisseau Soyouz, encore entouré de secrets à l'époque. Nous avons ainsi pu réaliser d'après ces photos, avec de jeunes passionnés dont le talentueux Vincent Méens, une maquette très fidèle du vaisseau spatial à l'échelle 1/10.  Cette maquette, admirée par les cosmonautes russes eux-mêmes, a été exposée au Palais de le Découverte en 1974, puis dans diverses expositions à travers la France. 





Et bien, ce vaisseau spatial conçu au-début des années 60 - tout comme sa fusée porteuse, le lanceur Semiorka conçu par l'ingénieur Korolev en 1957 - est encore en service (modernisé il est vrai) 50 ans plus tard, et c'est actuellement - depuis le retrait des navettes spatiales - le seul engin capable de conduire les astronautes jusqu'à la station spatiale internationale et de les faire revenir sur Terre en attendant la mise en service du nouveau lanceur par la NASA !

Dans les bibliothèques publiques et CDI d'établissements scolaires, d'anciens ouvrages sur l'espace ont été souvent "désherbés" à tort, considérés comme dépassés, car les missions spatiales des années 60 et 70 n'ont pas dit leur dernier mot !  
Par exemple, malgré les récents exploits et les innombrables découvertes, les sondes "Voyager" sont toujours en route, aux confins de notre système solaire...  L'Homme n'a pas reposé le pied sur la Lune depuis 1972...  La base de lancement de Baykonour (Tyuratam) est toujours utilisée...  Le Centre spatial guyanais intègre maintenant une base de lancement de fusées "Soyouz"...

A l'heure (peu glorieuse, écologiquement parlant !) de l'obsolescence programmée, un peu de "ringardise technologique" (ou son adaptation) ne fait pas de mal, et se fait presque rassurante.


vendredi 1 avril 2016

1er avril 2016 : Création d'un Ministère de la Réalité Virtuelle Augmentée (MRVA)





Après la création récente d'un Ministère à  l'Egalité Réelle, le Premier Ministre a décidé ce jour la création d'un nouveau ministère : le MRVA : Ministère de la Réalité Virtuelle Augmentée

Dans le cadre de la politique de redressement du pays et de la réduction des dépenses publiques, ce ministère sera chargé d'améliorer l'image du gouvernement et du Chef de l'Etat. 
Il pourra ainsi interagir "à vue" sur la courbe du chômage par le biais de ces nouvelles technologies. Cette courbe - actuellement très récalcitrante - pourra être inversée virtuellement, faute de pouvoir l'être concrètement. 
Il favorisera également la formation interactive d' équipes d'intervention des secours suite aux catastrophes telles que la chute de popularité du Chef de l'Etat. Cette courbe de popularité pourra également être "pilotée" interactivement pour en limiter les dégâts. 
Les ministres n'auront plus besoin de se déplacer, remplacés sur place par des robots pilotés à distance par leur "ministre de tutelle" qui aura ainsi le don d'ubiquité et pourra par exemple rencontrer simultanément les agriculteurs en colère et ses collègues européens. 
Moins de déplacements, pas de gardes du corps, plus de frais d'hôtel... économies garanties !

On pourrait multiplier les exemples d'innovations de ce ministère "high tech" et "éco-responsable"- promis à un avenir radieux - qui ne manquera pas de se développer, avec des secrétariats d'état aux Solutions Virtuelles et aux Robots Gouvernementaux.

(à suivre ?)


Sources : CR - Le Ringard Déchaîné
(01/04/2016)

mardi 15 mars 2016

Facebook, Twitter... j'y reviens !

Facebook, Twitter...  j'y reviens et je persiste (partiellement !)


En qualité de "Ringard éclairé",   j'ai souhaité approfondir ma connaissance de ces réseaux pour vérifier si je me trompais ou non (cf mes précédents articles...)


Twitter utilisé parcimonieusement  m'a paru assez intéressant et plus adapté que Facebook en ce qui concerne les échanges sur l'actualité et la circulation des pétitions. Le problème est que je m'y sens assez impuissant au regard du faible nombre de mes "abonnés".  L'exercice de Twitter oblige par ailleurs ses adeptes à une "gymnastique de l'expression" qui constitue un exercice intellectuel passionnant : arriver à dire en peu de mots ( 200 caractères maximum pour l'instant... ) ce que l'on souhaite transmettre aux autres. Eviter les mots inutiles, choisir dans le lexique le terme le plus approprié, c'est intéressant.  
Twitter est intéressant pour défendre des causes, diffuser des pétitions, polémiquer (quand c'est rédigé en bon français...) et à condition de ne pas y écrire sur tout et n'importe quoi.

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Quant à Facebook, dont je m'étais désinscrit il y a quelque temps, plusieurs raisons m'ont poussé à le redécouvrir :

Certains organismes ne jurent que par ce réseau, et lorsque j'ai voulu faire connaître  (par exemple) mes superbes photos de la Clarée à l'Office du tourisme de cette merveilleuse vallée, on m'a fait comprendre que cela passait presque nécessairement par Facebook !

Par ailleurs, n'ayant pas (ou plus) de nouvelles de personnes qui nous étaient chères, malgré l'existence de l'email, du téléphone et (oui, ça existe encore !) de la lettre... le passage par facebook permettait de les "suivre" - un terme qui confine davantage au voyeurisme qu'à l'amitié. 

En effet, depuis quatre mois, une nouvelle réinscription à ce réseau (je suis têtu malgré mes fortes réticences !) m'a permis de tisser un petit réseau d'une quarantaine d'"amis", et d'échanger quelques "clins d’œil"  (car c'est bien comme cela que je perçois ces échanges tout de même très superficiels et parfois un peu trop voyeuristes) avec des amis de jeunesse ou des relations familiales.

Il n'en reste pas moins que ces échanges demandent du temps malgré leur superficialité, et que pendant ce temps, les relations hors réseau sont un peu oubliées... Par ailleurs, le temps de créer, de rédiger ou de composer des albums et des pages internet "réfléchis" réduit comme peau de chagrin.  

Trop d'informations tue l'information. 
Trop de "partages"  tue la création. 
Tout est question de quantité, quand celle-ci peut tuer la qualité !

Estimant avoir testé en quatre mois les belles possibilités de ce réseau qu'il convient de "consommer avec modération", je vais cette fois y maintenir mon compte, mais en revoyant cependant à la baisse ma participation et la fréquence de mes visites. 

Etant farouchement opposé à une utilisation massive et irréfléchie (c'est un pléonasme...) du Smartphone (que je ne possède pas et ne possèderai pas tant que je n'y serai pas obligé !) je ne vais pas perdre mon temps à rester connecté en permanence sur un réseau peut-être sympa, mais surtout très superficiel, et paradoxalement "égoïste". 



(à suivre ! ?)